PVT Nouvelle-Zélande, nos conseils!
Cela faisait longtemps que nous nous étions mis en tête de partir à l’autre bout du monde, pour découvrir le pays du Seigneur des Anneaux. Ah oui, le beau cliché nous direz-vous! On assume, à chaque fois qu’on voyait Gandalf partir sur son cheval blanc sur les terres du milieu, on s’imaginait arpenter les sentiers de randonnées de la Nouvelle-Zélande.
Quitte à partir aussi loin, nous avons décidé d’opter pour un PVT, soit à nos yeux la meilleure solution pour profiter de ce merveilleux pays qu’est la Nouvelle-Zélande. C’était en 2020, mais nul doute que nos retours d’expérience pourront encore vous être utiles à l’heure où vous lirez cet article !
Vous ne savez pas ce qu’est un PVT ? Alors vous êtes au bon endroit, car on vous explique tout dans cet article. C’est parti!
SOMMAIRE
Le PVT, c’est quoi?
Travailler dans le cadre d’un PVT
Comment obtenir un PVT en 2020?
Où et comment demander un PVT?
Le PVT en Nouvelle-Zélande
7 raisons de choisir la Nouvelle-Zélande pour un PVT
Demander un PVT en Nouvelle-Zélande: les démarches étape par étape
Préparer son départ en Nouvelle-Zélande
Préparer ses bagages pour la Nouvelle-Zélande
Choisir son assurance PVT
L’arrivée en Nouvelle-Zélande pour un PVT
Le PVT, c'est quoi ?
Le PVT (Permis Vacances Travail), aussi appelé visa WHV (Working Holiday Visa) par nos amis anglophones, ou encore « programme vacances-travail », est comme son nom l’indique, un permis de résider dans un pays pour y faire du tourisme et/ou pour y travailler. Autrement dit, c’est un peu comme un visa touristique ou visa vacance, mais en mieux. Les visas PVT sont généralement valables pendant 1 an, et peuvent être reconductibles dans certains cas (conditions variables selon le pays). Le PVT peut donc être un bon moyen pour découvrir et passer plusieurs mois dans un pays, avant d’envisager de s’y expatrier par exemple.
Pour nous, ce type de visa nous permettait surtout de disposer de suffisamment de temps pour voyager en NouvelleZélande, tout en pouvant y travailler et ainsi regonfler nos économies avant le retour.
Travailler dans le cadre d’un PVT
Grâce au PVT, pas besoin de vous serrer la ceinture pendant des années pour pouvoir enfin découvrir cette destination qui vous fait tant rêver! Vous pouvez vivre normalement et même vous permettre quelques excès (quitte à ne plus rentrer dans ladite ceinture, personne ne vous jugera...), du moment que vous avez un minimum d’économies. On entend par économies de quoi vous payer vos billets d’avion aller-retour, les frais de visa ainsi que les dépenses inévitables qui vous tomberont dessus à votre arrivée.
Vous voudriez dormir dans les meilleures auberges de jeunesse, vous faire un programme vacances de rêve et enchaîner avec un PVT Australie ? Mais vous n’avez pas le budget ? Pas de panique, l’avantage d’un visa Vacances travail est que vous pourrez vous assurer un salaire en trouvant un travail sur place, et ce dès les premiers jours! En prime, vous pourrez ainsi vous targuer d’avoir vécu comme un «local» pendant votre séjour. Et qu’on ne vous qualifie pas de « touriste » ! Non mais!
Une autre possibilité peut-être le Wwoofing, le HelpX ou toute forme de travail consistant à être logé, nourri et blanchi en échange de quelques heures de travail. Un lit douillet, un repas local et une immersion totale chez l’habitant contre vos bons services? La formule semble idéale et est pour sûr le meilleur moyen de faire des rencontres sur place. Mais « semble » idéale seulement, car des controverses circulent à ce sujet. On en parle plus en détails dans notre article dédié, en essayant de juger si le wwoofing est plutôt une immersion culturelle, ou un esclavage moderne…
Gardez toutefois à l’esprit que dans ce cas, vos déplacements et activités devront être financés à 100% par vos économies. Et on vous prévient à ce sujet, votre carte bancaire risque de chauffer, probablement plus vite qu’en France !
Comment obtenir un PVT en 2020 ?
Pour obtenir ce sésame, plusieurs conditions sont requises :
le pays qui vous fait de l’œil - vous savez, celui dans lequel votre cousine est partie au printemps dernier, vous envoyant des dizaines de photos pendant que vous étiez en réunion..? - et bien ce pays doit figurer dans la liste proposant des PVT aux ressortissants français. Rassurez-vous, ceux-ci sont nombreux et variés, donc vous trouverez certainement votre bonheur! Les différentes destinations PVT sont:
L’Argentine
L’Australie
Le Brésil
Le Canada
Le Chili
La Colombie
La Corée du Sud
Hong-Kong
Le Japon
Le Mexique
La Nouvelle-Zélande
Le Pérou
La Russie
Singapour
Taïwan
L’Uruguay
Avoir moins de 30 ans révolus (ou 35 selon les pays) au jour de début de votre visa.
Être muni d’un passeport valide
Vous devez avoir assez d’argent pour subvenir à vos besoins sur place, et pouvoir le prouver, relevé bancaire à l’appui. Généralement, on vous demande d’avoir en plus de cet argent, vos billets d’avion retour ou à défaut, la somme jugée nécessaire pour en acheter un. Le budget pour un PVT est défini par chaque pays, mais s’étend généralement de 2000€ à 4000€.
Être en bonne santé. Vous devrez probablement répondre à de nombreuses questions à ce sujet; il s’agirait de ne pas déclencher d’épidémie dans votre pays d’accueil, ou de coûter trop cher à leurs services de santé.
Votre casier judiciaire doit être vierge.
Souscrire à une assurance PVT (pas toujours obligatoire comme pour le PVT Nouvelle Zelande, mais toujours fortement recommandée). Cela peut-être un vrai casse-tête pour faire un choix parmi les différentes offres! C’est pourquoi nous vous parlons plus en détail de la formule que nous avons choisie un peu plus bas.
Si vous répondez à tous ces critères, bravo! Vous avez maintenant le droit de demander votre PVT, et de payer la somme qui vous sera réclamée à cet effet. Et oui, une demande pour un Permis Vacances Travail n’est pas toujours gratuite; là encore, tout dépend du pays que vous choisissez.
Souvent, les pays proposant un PVT gratuit proposent en revanche un nombre de places limité.
Où et comment demander un PVT ?
Là encore, les démarches varient considérablement d’un pays à l’autre. Selon la destination dans laquelle vous souhaitez partir, renseignez-vous sur les sites dédiés (site du gouvernement ou site de l’immigration le plus souvent) pour connaître la marche à suivre. Parfois, un simple formulaire en ligne sera demandé aux futurs voyageurs, quand d’autres pays nécessiteront d’envoyer votre demande par courrier aux services d’immigration, ou même de vous y présenter en personne (via les ambassades par exemple).
« Merci Hors-Pistes pour ces informations d’une précision redoutable! ». Oui on sait, tout ça est un peu vague... Pour être plus précis, prenons l’exemple que nous avons pu expérimenter: le visa vacances-travail en Nouvelle-Zélande.
Le PVT en Nouvelle-Zélande
7 raisons de choisir la Nouvelle-Zélande pour un PVT
De notre point de vue, la Nouvelle-Zélande était LA destination idéale pour expérimenter le PVT:
C’est le pays de la randonnée. Vous commencez à nous connaître, il suffit de nous dire « montagne » et « randonnée » pour nous voir débarquer en courant comme des petits fous (et on exagère à peine). Rajoutez à ces deux ingrédients un peu d’océan Pacifique, de cascades, de terres volcaniques et enfin quelques fjords, mélangez énergiquement, et voilà la recette de la destination rêvée!
Pour l’accueil néo-zélandais. La gentillesse de ce peuple n’est semble-t-il pas une légende; accueillants, chaleureux, serviables... Ces qualités ne gâchent en rien le plaisir de découvrir le pays! D’ailleurs, le taux de criminalité est extrêmement bas, ce qui est un point rassurant pour les voyageurs.
Pour pratiquer l’anglais. Avec le Maori, l’Anglais est la langue officielle du pays. En restant plusieurs mois, vous avez des chances de speaker very well l’English à votre retour, et ainsi d’étoffer votre CV. Well done !
Pour leurs principes éco-responsables. Les néo-zélandais aiment leur nature (et on les comprend) et veulent à tout prix la protéger. Beaucoup de choses sont mises en place pour limiter les déchets, préserver les espèces animales... On vous en dira plus à ce sujet dans un article dédié prochainement!
Pour la variété de paysages. On en a énuméré quelques uns dans le premier point; ce qui saute aux yeux est la variété de ces décors. Et pour cause: la Nouvelle-Zélande est sous l‘influence de climats variés, de par la proximité de l’Antarctique notamment. Ainsi, du Nord au Sud ou de l’Est à l’Ouest, les paysages sont complètement différents!
Pour la superficie raisonnable. La Nouvelle-Zélande a une superficie de 268 021km2, soit environ 1/3 de la France. En une année, vous avez ainsi le temps d’en explorer tous les recoins, ou du moins un bonne partie.
Parce que c’est tout prêt de la France. Non, c’est une blague; les 19 167km sont longs, très longs à parcourir. Et c’est justement une bonne raison pour rester une année entière, et ainsi ne pas avoir à refaire ce trajet dans l’autre sens tout de suite. Rien que d’y penser, on en est encore tout jet-lagués !
Demander un PVT en Nouvelle-Zélande : les démarches étape par étape
Pour avoir le droit, comme nous, de résider au pays des Kiwis et visiter la Nouvelle-Zélande, en alliant voyage, découvertes, et renflouement des comptes en banques : il faut déjà obtenir son visa de travail.
Pour partir en PVT Nouvelle-Zélande, les démarches sont plutôt simples; tout se passe sur le site de l’immigration néo-zélandaise. Créez votre compte sur le site, et prévoyez au minimum une demi-heure pour remplir l’ensemble du questionnaire en ligne. Il vous faudra par ailleurs vous munir de votre passeport et de votre carte d’identité, ainsi que d’un moyen de paiement (carte visa ou mastercard).
Ce moyen de paiement vous servira à régler les 280$ (soit 167€ environ) qui vous seront demandés pour valider votre demande. Sachez que les places sont illimitées pour les PVT en Nouvelle-Zélande; en réglant cette somme et en remplissant l’ensemble des conditions, votre demande sera donc acceptée sans aucun doute! Par contre, ces frais de visa sont à prévoir dans votre budget !
Concernant la demande en ligne, toutes les étapes sont clairement détaillées dans ce tutoriel sur le site PVTistes; allez y jeter un coup d’œil!
Une fois votre demande de visa acceptée (le délai de réponse est plutôt court, rassurez-vous!), vous disposez de 12 mois pour poser vos jolis petits orteils sur le sol néo-zélandais; passé ce délai, votre visa ne sera plus valide. Sachez qu’un PVT ne vous sera accordé qu’une seule fois, même si vous n’en n’avez finalement pas profité.
Préparer son départ en Nouvelle-Zélande
Pour partir en PVT pour la Nouvelle-Zélande, votre préparation commence bien évidemment par l’essentiel: vous assurer que votre passeport soit valide, et ce jusqu’à 3 mois après la date de fin de votre séjour. Ensuite, il vous faudra imprimer votre e-visa, et vous préparer à balader ces deux documents partout avec vous.
A noter: si vous ne partez pas dans le cadre d’un PVT, il vous faudra demander un NZeTa. Il s’agit d’un droit d’entrée dans le pays, nécessaire à toute personne qui souhaiterait y séjourner ou même simplement y faire escale. Il coûte seulement entre 9 et 12$, mais doit absolument être souscrit avant votre départ. Seuls les détenteurs d’un passeport néo-zélandais ou australien, ou les voyageurs munis d’un visa valide pour la Nouvelle-Zélande en sont exonérés. Pensez à vous assurer que vous ne soyez pas concerné avant de partir!
Si vous prévoyez comme nous d’acheter (ou même de louer) un véhicule sur place, il vous faudra être titulaires d’un permis international. Celui-ci se demande très facilement via le site ANTS via la rubrique permis de conduire. En revanche, comptez au moins 2 mois de délais pour le recevoir, donc pensez à anticiper ce point. Vous devrez également avoir avec vous votre permis français pendant votre voyage.
Nous vous donnerons bientôt nos conseils pratiques et bons plans concernant l’achat d’une voiture ou d’un van, ainsi que pour la vie en van en Nouvelle-Zélande.
Jusque là, rien de bien difficile, sauf bien sûr si vous souffrez de phobie administrative... Venons-en plutôt au sujet qui fâche: les économies. Pour pouvoir valider votre visa, il vous faudra réunir 4200$ (soit un peu plus de 2500€); il s’agit du montant estimé nécessaire pour subvenir à vos besoins sur place. Vous pourrez avoir à prouver que vous disposez bien de cette somme lors de votre arrivée.
En plus de cet argent, il vous faudra disposer d’un billet retour ou des fonds nécessaire pour en acheter un.
Enfin, vous devrez souscrire à une assurance couvrant vos éventuels problèmes de santé. Le sujet étant (très) vaste, nous avons consacré un paragraphe à la question juste en-dessous.
Une fois toutes ces cases cochées, vous n’avez plus qu’à glisser 3 culottes et 2 t-shirts dans votre sac à dos, et à vous l’aventure! Mais avant, abordons quand même plus en détail le contenu dudit sac.
Préparer ses bagages pour la Nouvelle-Zélande
Avant d’ arriver en NouvelleZélande, sachez que les néo-zélandais mettent un point d’honneur à préserver leur nature, sa diversité et les espèces qui la peuplent. Ils ont donc mis en place tout un protocole de bio-sécurité afin d’éviter toute contamination de leur faune et flore. De ce fait, vous ne pourrez entrer en Nouvelle-Zélande avec aucun produit alimentaire; pas même la banane que vous aviez prévue pour votre goûter.
Par ailleurs, vos chaussures (surtout celles de randonnée) devront avoir été parfaitement nettoyées; toute trace de terre venue d’autres contrées sera traquée! Il en va de même pour votre matériel de camping. Sur une île à la nature si prolifique, les contaminations peuvent s’étendre à une vitesse considérable; on comprend donc la tolérance zéro appliquée à ce sujet!
Vous trouverez toutes les infos pratiques à ce sujet sur le site web de l’immigration néo-zélandaise, ou sur celui du gouvernement néo-zélandais.
Choisir son assurance PVT
Pour souscrire à un PVT, on ne vous demandera pas d’examen médical, de radio des poumons ou que sais-je (en tous cas pas pour la Nouvelle-Zélande; peut-être est-ce différent pour un PVT Japon ou PVT Canada par exemple). Vous êtes donc exempts de visite médicale avant de partir, mais santé / PVT sont pourtant 2 termes qui devraient être indissociables; il serait dommage que votre séjour soit gâché par une maladie ou un blessure… Pour limiter les risques, l’assurance santé reste la meilleure solution, pour au minimum avoir l’esprit libre en cas de pépin (pris en charge des coûts, rapatriement…) Mais les raisons de souscrire à une assurance PVT vont au-delà de la simple assurance santé ou assurance voyages! Voyons plus en détails pourquoi choisir cette formule :
Comme dit plus haut, l’assurance PVT est obligatoire en Nouvelle-Zélande. Alors quitte à devoir en prendre une, autant bien la choisir!
Croyez-nous, vous n’avez pas envie de payer vos frais de santé si vous tombez malade / vous blessez... En France, nous sommes habitués à ce qu’ils soient pris en charge. Imaginez devoir financer une hospitalisation! Le voyage en serait pour sûr écourté, tout comme vos économies.
Pour pouvoir être rapatrié en cas de gros soucis. L’hospitalisation est une chose; devoir être rapatrié pour raisons de santé en est une autre, surtout en terme de budget! Et malheureusement, c’est le genre de choses qu’il faut prévoir...
Pour pouvoir être au chevet d’un proche dans les pires moments. Qui n’a jamais hésité à l’idée de partir au bout du monde, par peur d’être absent si un proche meurt ou tombe gravement malade..? Et bien une assurance PVT peut vous permettre de rentrer pour être à son chevet, sans penser au budget.
C’est en pensant à toutes ces éventualités que nous avons cherché quelle serait la meilleure formule pour nous, parmi toutes les offres d’assurances PVT NouvelleZélande. Nous avons alors opté pour Chapka assurances. Leur formule PVT couvre l’ensemble des points qui nous intéressaient, évoqués ci-dessus. (Vous pouvez leur demander un devis gratuit en cliquant sur le bouton juste en-dessous!) En plus avec un nom pareil, on s’est dit qu’on ne trouverait pas mieux pour nous accompagner dans nos aventures en montagnes!
L'arrivée en Nouvelle-Zélande pour un PVT
Bravo, vous avez affronté vos longues, très longues heures de voyage jusqu’à cette destination du bout de monde! Il est temps de fouler le sol néo-zélandais à toute jambes... Mais hop hop, pas si vite!
« Quand tu arriveras sur le territoire néo-zélandais, ta carte d’arrivée avec toi, tu auras ». Et oui, veillez à respecter ce sage conseil, car ce document est très important! Il s’agit d’un petit formulaire papier que l’on vous distribuera probablement lors de votre dernière escale, ou à la fin de votre vol (nous avons obtenu le notre à Singapour avant d’embarquer dans l’avion, mais les hôtesses de l’air en distribuaient également juste avant l’atterrissage). Ce questionnaire porte sur quelques renseignements sur vous, mais aussi et surtout sur vos précédents voyages et sur le contenu de vos bagages. Comme évoqué plus haut, les autorités néo-zélandaises ne plaisantent pas avec la bio-sécurité! Et on vous voit, petit malin: ne daignez pas cocher « non » à la question « transportez-vous des biens alimentaires quels qu’ils soient? », alors que vous avez ramené votre stock annuel de fromages! Toute fausse déclaration sera évidemment dévoilée, et chèrement facturée (400$ par infraction). Les autorités se réservent par ailleurs le droit de réviser votre droit d’entrée... Allez, vous en mangerez à votre retour, de la raclette!
Autre point important: une adresse néo-zélandaise vous est demandée sur cette carte d’arrivée. Cela peut-être l’adresse de votre AirBnB ou de votre auberge de jeunesse, réservés pour vos premiers jours (ils peuvent bien entendu demander une preuve attestant que vous vous rendez bien là-bas...). Si vous êtes plutôt du genre « YOLO, c’est l’aventure on verra sur place où le vent me porte! », vous risquez de ne pas être très copains avec les messieurs-dames de l’immigration. Vous vous embarquez dans une longue série d’interrogatoires, à l’issue desquels ils décideront si vous leur inspirez confiance ou non. Alors épargnez-vous ce calvaire après vos 2 jours de voyage: réservez au moins une nuit quelque part en amont!
Si vous avez coché toutes ces cases, vous avez enfin l’honneur de respirer l’air néo-zélandais! Vos démarches n’en sont pas terminées pour autant; il vous faudra acquérir une carte SIM locale et un abonnement téléphonique, ouvrir un compte en banque, demander un numéro IRD...
Mais toutes ces étapes peuvent attendre que vous vous soyez remis du décalage horaire, of course. C’est pourquoi nous les aborderons dans un prochain article.
En attendant, vous pouvez d’ores et déjà commencer à profiter de votre aventure : organiser votre road trip sur l’ile du Sud, visiter les grandes villes, écumer les petites annonces pour l’achat d’un véhicule, faire un saut en parachute … Les possibilités sont infinies; à vous l’aventure !